Mo Ran estimait qu’avoir pris Chu Wanning comme maître avait été une erreur.
Son Shizun ressemblait tant à un chat, quand lui n’était qu’une sorte de chien stupide.
Les chiens et les chats étaient biologiquement différents. Le chien idiot n’avait originellement pas eu l’intention de tendre ses pattes poilues vers le chat.
Il pensait au départ que les chiens devaient être avec les chiens, songeant à son shixiong, qui était beau et docile, comme un mignon Spitz japonais. Ils auraient été si bien ensemble.
Mais après être mort et revenu à la vie, après avoir vécu deux vies, celui qu’il avait ramené dans sa tanière les deux fois n’avait été autre que ce petit chat blanc comme neige, Shizun, sur lequel il n’avait, au début, pas même posé un regard.
AVERTISSEMENT :
⚠️Cette œuvre est au minimum R18⚠️
Elle comprend : des viols, des rapports sexuels explicites, des rapports sexuels mettant en scène des mineurs, du gore, des châtiments corporels, des relations malsaines, des principes douteux, entre autres immoralités.
